Cadeaux à gagner
5 livres "De quoi sont ils vraiment morts?" du Dr Jacques Deblauwe
Principe
Inscrivez-vous + 1 question
Réponses
R1>d un infarctus du myocarde
Conditions
Le concours est ouvert à toute personne résidant en France
Vous utilisez à priori un logiciel pour bloquer les publicités.
Les publicités sont notre seule source de revenus et permettent de financer la gratuité de ce site. Nous affichons un nombre raisonnable de publicités et elles ne gêneront pas votre navigation. Nous vous serions reconnaissant d'ajouter ledemondujeu.com dans votre liste blanche, ce message disparaitra alors automatiquement. Merci de nous soutenir !
Cliquez ici pour voir un exemple d'ajout en liste blanche avec Adblock Plus
5 livres "De quoi sont ils vraiment morts?" du Dr Jacques Deblauwe
Inscrivez-vous + 1 question
R1>d un infarctus du myocarde
Le concours est ouvert à toute personne résidant en France
Lorsque le vieux Monsieur Bronstzki est mort, Madame Bronstzki alla voir le croque-mort pour lui dire :
- Monsieur Bronstzki, mon mari, portait une moumoute. Personne d'autre que lui et moi n'était au courant. Il faudra vous assurer que, lors de la présentation du corps, personne ne puisse se douter qu'il était chauve. Si j'insiste sur ce fait, c'est parce que chez nous en Moldavie, les proches du défunt ont l'habitude de lui serrer les mains et de lui caresser les cheveux en guise d'adieu.
Alors le directeur des pompes funèbres la rassure :
- Vous inquiétez pas, Madame Bronstzki, sa moumoute sera tellement bien fixée qu'elle ne risquera pas de bouger d'un poil.
La présentation du mort et la bénédiction ont lieu. Tout se passe très bien malgré les traditionnelles effusions moldaves. Tellement bien que le soir, lorsque tout est terminé, Madame Bronstzki dit au croque-mort :
- Vous avez fait un formidable travail. Merci encore de m'avoir permis de garder le secret de la moumoute de mon mari. Pour cela, je vous donnerai un supplément de 1000 euros aux frais d'obsèques !
- Oh Madame Bronstzki, je ne peux pas accepter. Vous savez, ça n'était jamais que quelques clous.